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1 avril 2009

Veterans Miliana

 

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                                                                                                                                          le 29- 04- 2011                                                                                                                                                                         

   Vétérans frenda  2  /  Vétérans Miliana  4                                              

               Photos_0283                                  

                                               

Historique de la Ville de Miliana      
   
Tour Eiffel et mines du Zaccar Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Nicole Marquet                                                       par           http://milianaville.com

 On célèbre, cette année, les 121 années de la Tour Eiffel. Le fer, utilisé pour la Tour Eiffel, a été fabriqué en Lorraine, à partir de minerai venant d'Algérie, des mines du Zaccar (Miliana) et de Rouina.
Gustave Eiffel a remercié les mineurs en offrant une horloge à l'école du village de Carnot.

Dans une France aux prises avec des difficultés politiques et économiques, et encore marquée par le souvenir de sa défaite face à l’Allemagne en 1870, s’impose l’idée d’une Exposition universelle capable de redresser le pays et de restaurer son prestige au regard du monde entier.

Prévue à Paris en 1889, année du centenaire de la Révolution française, l’Exposition est tout entière dévolue au fer, et son « clou » est la tour haute de trois cents mètres dessinée par Maurice Koechlin et construite par Gustave Eiffel.

L'architecte Gustave Eiffel n'est pas véritablement "l'inventeur" de la tour qui porte son nom. L'idée revient à de deux de ses collaborateurs, Emile Nouguier et Maurice Koëchlin. Fidèle à la vocation des Expositions universelles, la Tour Eiffel exalte l'audace architecturale de l'époque. Les constructions métalliques sont alors en plein essor, et le projet d'une tour en fer ne tarde pas à émerger dans le bureau d'études de l'entreprise Eiffel. Il se consacrera alors à l’exploitation de la Tour et à diverses expériences sur la résistance de l’air, l’observation de la météorologie et surtout il y installera une antenne géante pour les débuts de la radio. C’est grâce à ces expériences que la Tour Eiffel est toujours là car elle avait au départ été construite pour une durée de vingt ans!

Il n'a fallu que cinq mois pour construire les fondations et vingt et un mois pour réaliser le montage de la partie métallique de la Tour. C'est une vitesse record si l'on songe aux moyens rudimentaires de l'époque. Le montage de la Tour est une merveille de précision, comme s'accordent à le reconnaître tous les chroniqueurs de l'époque. Commencé en janvier 1887, le chantier s'achève le 31 mars 1889. Gustave Eiffel est décoré de la Légion d'Honneur sur l'étroite plate-forme du sommet.

A cette époque le défi de réaliser une tour «haute de plus de mille pieds », occupe l'esprit des architectes. Ceux-ci se heurtent à d'innombrables problèmes techniques.  A titre indicatif, en 1885 s'achève l'obélisque de Washington, de 169 mètres, mais les buildings n’existent pas encore. En France, entre autres, Bourdais et Sébillot imaginent une colonne de 300 M, maçonnée donc irréalisable avec les moyens de l’époque.
 
Les dimensions de la Tour Eiffel
Dès 1878, Jules Ferry envisage une grande Exposition universelle pour 1889. Le projet, adopté en 1883, donne à deux ingénieurs de l'entreprise Eiffel, Émile Nouguier et Maurice Koechlin, l'idée d'une tour métallique.
Après diverses entrevues et signatures officielles, le 28 janvier 1887, les travaux commencent et les Parisiens n’en reviennent pas! Sur le chantier ne s'effectue que l'assemblage, les principaux éléments sont dessinés et fabriqués dans les ateliers Eiffel, à Levallois.
 
1 - Les calculs préliminaires
Eiffel dit à ce propos : « Les charges verticales entrant dans le calcul de l’ossature générale comprennent uniquement le poids de la construction. Il est tout à fait inutile d’y faire figurer le poids des visiteurs ; il n’en a été tenu compte que dans le calcul des pièces spéciales, telles les planchers. En effet la violence des vents que nous avons admise pour arriver à la détermination des divers éléments de la Tour est telle qu’elle rendrait le séjour de la Tour absolument impossible à tout visiteur, et d’autre part, le poids de ces visiteurs eux-mêmes donne lieu à des fatigues presque négligeables en face de celles dues au poids propre de la construction et aux grands ouragans»
 
2 - Les fondations
Les fondations ont été exécutées avec un soin particulier, du 28 janvier 1887, au 30 juin. Du côté du Champ-de-Mars, les deux piles sont posées sur des massifs en béton de deux mètres de profondeur reposant sur du gravier et du sable de plus de cinq mètres de profondeur. Côté Seine, on a descendu quatre caissons à cinq mètres au dessous du niveau normal de la Seine sous chaque pile.

Il fallut 12 000 m3 de matériaux pour les massifs en maçonnerie. Des boulons de huit mètres ont été noyés dans les fondations. La pression sous les sabots en fonte qui supportent les arêtes de la tour n'est que de 30 kg/cm2, ce qui, compte tenu de la hauteur de la tour est très faible. Mais par souci de sécurité il a quand même fait le calcul avec 10416 visiteurs pouvant se trouver en même temps dans la tour par grand vent, en comptant deux personnes au mètre carré !
 
3 - Il a fallu calculer le poids des fers nécessaires :
- Fournitures des ateliers Levallois Perret : 6.360.067 kg
- Fournitures d’autres ateliers : 981.147 kg
- Caissons métalliques : 246.152 kg
- Tuyaux en fonte : 450 kg
- Ascenceurs :  946.000 kg
- Total: 8.564.816 kg soit environ 8600 tonnes
 
4 – La provenance du Fer:
Le fer qui a servi à la principale ossature de la Tour Eiffel provient des mines de Zaccar et Rouina en Algérie.

Mines du Zaccar à Miliana:
Miliana surprend les familiers des paysages miniers : pas de terrils, pas de tours d'extraction, aucune de ces superstructures gigantesques dressant leur masse métallique sur les plaines désolées. A chaque tournant, la route de montagne surplombe la plaine du Chélif, après avoir gravi le chemin en crémaillère qui serpente à travers cette déclinaison. Un rideau d'eucalyptus borde le ravin. Dans la paroi rocheuse, un trou de deux mètres de diamètre vous invite à pénétrer dans la mine. Des lampes se balancent dans la nuit, éclairant une galerie au boisage grossier qui aboutit à un puits d'une quinzaine de mètres de profondeur. Faute d'ascenseur, on y descend par une minuscule échelle, vers une nouvelle galerie flanquée d'étroits boyaux: les chantiers de taille.

Des ouvriers déblaient des tas de blocs grisâtres de minerai, que des manœuvres chargent sur des wagonnets dont ils vont basculer le contenu dans une fosse sans fond ouvrant sur la montagne. Le minerai dévale la pente, pour être recueilli sur des terrasses en contrebas. La mine employait jadis 1800 travailleurs, soit à peu près un membre sur quatre de la population active de la ville.

Rouina était l'une des premières mines découvertes en Algérie par les Français. Ses habitants racontent avec fierté que Gustave Eiffel fût ébloui par la pureté de son fer, et la grande teneur de son acier. Les montagnes donnent l'impression qu'elles ne sont que de la terre ordinaire sans aucune valeur, mais en réalité cette dernière est un minerai d'une valeur inestimable qu'ont été dotées ces montagnes et qui est la matière première des cimenteries de Meftah, Chlef et la pointe Pescade.
 
La Mine de Rouina est devenue, ruines après l'indépendance : 
Ce qui reste des hauts fourneaux où l'on chauffait le minerai à une moyenne température pour pouvoir ensuite le broyer et l'acheminer par wagons vers les différentes fonderies d'Algérie et de France.
Les fers usinés ont été commandés aux usines de MM. Dupont et Fould, Maîtres de forges à Pompey (Meurthe et Moselle) représenté à Paris par M. A. Prègre (Directeur) à qui il avait été indiqué la qualité des fers pour la Tour.


5 - Il a fallu calculer les effets du vent:
Le chapitre 3 de son ouvrage y est entièrement consacré, je vous donne les titres de ce chapitre.

- 1 Principe de la construction
- 2 Intensité du vent
- 3 Surfaces offertes au vent
- 4 Division en élément
- 5 Surfaces des éléments. - Efforts du vent par élément et moments de renversement correspondants
- 6 Calculs des efforts moléculaires dus au vent dans la partie supérieure
- 7 Calculs efforts moléculaires dus au vent dans la partie inférieure
- a) Principes des calculs
- b) Efforts de compression et efforts tranchants
- c) Moments fléchissant
- d) Détermination des moments parallèles à la direction du vent
- e) Détermination des moments normaux à la direction du vent
- f) Calcul des efforts totaux dus au vent dans les arbalétriers et coefficients de travail maximums
- g) Calcul des efforts dus au vent dans les barres de treillis et coefficients de travail correspondants
- 8 Hypothèse d'un vent agissant dans une direction quelconque
L’essentiel des calculs est fait pour des vents allant de 100 à 300 kg par mètre carré, on remarque que les structures verticales de la partie haute ne sont que très peu sollicitées, c’est la raison de cette forme de la tour et c’est, ma foi, très finement vu ! En plus cette forme est particulièrement esthétique, faut-il y voir le hasard?


6 - PRIX DE LA TOUR:
Le prix de revient de la Tour, mise en place avec l'ornementation et les nécessités architecturales, s'élève au chiffre de cinq millions et se répartit comme suit:

1 Tour métallique: 3,405.000 francs.
2 Fondations. - Maçonnerie: 400.000 francs
3 Travaux de vitrerie, couvertures et divers: 100.000 francs
4 Ascenseurs: 50.000
5 Peintures et décorations, appareils divers pour l'électricité, machines: 845.000 francs
T o t a l: 5.000.000 francs

Cette dépense totale de 5 millions sera pour le compte de la Société Eiffel, de « trois millions » et demi et l'État fournit le reste sous forme de subvention, soit 1.500.000 francs.
En tous les cas, ce record du monde fut une œuvre de génie et sa réalisation,essentiellement aux frais d’Eiffel lui-même, s’est avérée très rapide et sans grands inconvénients.
Les diverses poutres on été assemblées au moyen de vingt-cinq millions de rivets enfoncés au marteau, à la main, ou de boulons placés à la main eux aussi.

Combien de fois les ouvriers sont-ils montés et descendus ces échafaudages pharaoniques ? Personne ne le dit ! Tout ceci nous vaut un magnifique monument, bien représentatif de son temps.

Cette page est, en très grande partie, réalisée d'après les sources : L'histoire de la tour Eiffel et sa construction, vues par son architecte, album publié en 1900.

                                                               par           http://milianaville.com

La Statue du Jardin Magenta se dévoile Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Sugabaris                                             par           http://milianaville.com

 Les admirateurs de tout temps la devinaient européenne d'origine et pharaonique d'inspiration par la coiffe Nemes aux ailes de faucon qu'elle porte et ne doutèrent aucunement en la confirmation de ces éléments techniques, validés par le résultat des recherches et l'information rapportée par le canal Zéphyr. Une bien belle nouvelle en effet que de savoir qu'elle puise ses origines de la fonderie française au cours du 19ème siècle et appelée '' L'EGYPTIENNE'' œuvre impressionnante du célèbre sculpteur Mathurin Moreau dont certaines déclarations avancent que la plus belle copie se trouve à Miliana.

L'énigme résolue, le patrimoine historique local s'enrichit de fait par cette identification et permettra aux conservateurs du musée de situer temporellement l'âge et l'existence de la précieuse porte torchère en leur facilitant le repérage d'une époque et l'ordre de classement dans la bibliothèque de consignation des valeurs artistiques séculaires. Une richesse matérielle remise en relief à joindre au répertoire des objets post-antiquaires, une magnifique créature de fonte finement conçue d'une main experte, orientée nord-est en direction de Paris, à entretenir et préserver de l'usure du temps et de la dégradation humaine.

L'endroit où elle se trouve, le jardin public ne jouit malheureusement d'aucune protection quand on surprend des enfants s'aventurer jusqu'au piédestal du candélabre pour se rafraîchir en eau jaillissante limpide d'un ensemble ornemental de têtes divines fixées en circonférence et associées au charme du décor naturel. Le lieu, à ne pas cacher, inspire la désolation dont les deux tiers de la superficie sont voués à l'abandon, fief de tous les vices d'une impunité criarde dans lequel végète notre belle silhouette que la peinture empâte d'année en année et résistante tant bien que mal aux divers aléas sur l'îlot des batraciens, entouré d'un bassin triangulaire où quelques poissons d'une rougeâtre tunique, affamés se meuvent nonchalamment dans une eau trouble, disputant dans l'agitation les miettes de pain lancées par de rares visiteurs. Puisse t-il ce havre de paix et de repos retrouver son rayonnement par cette étonnante découverte.

Un grand merci à tous ceux qui s'impliquent par leur amour et leur curiosité à dépoussiérer les pans de l'histoire pour une meilleure compréhension de notre existence et la sauvegarde du patrimoine

                                                                                                              http://milianaville.com

Géographie
Située à 119 Km au sud ouest d'Alger sur le revers septentrional du petit Atlas, Miliana se présente comme une ville aux richesses naturelles multiples. Suspendue au penchant du mont Zaccar qui la couvre entièrement au nord, la ville est bâtie sur un énorme rocher de travertin aux contours abrupts. À l'est, elle domine à pic un ravin, au sud, la vallée du Chélif, et à l'ouest un plateau arrosé d'eau jusqu'à la chaîne de l'Ouarsenis.

Période romaine
Les anciens historiens comme Pline l'Ancien, Ptolémée et Antonin ont eu des divergences quant à l'origine du toponyme de cette localité.Plusieurs appellations ont été citées telles que : Manliana ou Malliana et Zucchabar ou Sugabar.

Quelques pistes
 

Le nom de Manliana ou Malliana dérive du patronyme MANLAE. Ce nom d'origine latine est attribué à une fille de famille patricienne romaine (MANLIA) propriétaire de grands domaines (FUNDI) dans cette région agricole de la vallée du Chélif.

Le second toponyme "Zucchabar" ou "Sugabar" a été mentionné dans les monuments épigraphiques indiquant l'emplacement de la Cité. Ce nom serait d'importation phénicienne signifiant « marché du blé » ou d'origine libyco- berbère : Izeikir Abadir « La montagne du dieu Abadir » caractérisant le massif montagneux du Zaccar. Pline, quant à lui, qualifie cette cité de Colonia Augusta.

A la conquête arabe, le toponyme Manliana fut arabisé pour devenir MEL-ANA (pleine, remplie, riche), puis MILYANA. Cette appellation est due sans doute à l'abondance des eaux et la richesse des vergers qui caractérisent la région. Miliana fut longtemps capitale-refuge des Rois Numides. Elle fut l'une des grandes cités de la province de Maurétanie Césarienne et siège d'un évêché. Plusieurs voies la relaient aux autres villes avoisinantes.

La ville Romaine fut fondée par l’empereur Octave entre 27 et 25 av.JC. Ses antiquités ont été citées dans de nombreux ouvrages d'auteurs « La cité Romaine est située sur le flanc de la montagne Zaccar qui s'élève à 4000 pieds d'altitude. Des restes d'architecture et de sculpture découverts en ces lieux et réutilisés plus tard par les Turcs pour la construction des remparts de la ville démontrent l'importance de cette cité dans l'Antiquité ».

Parmi les documents archéologiques romains trouvés à Miliana, on signale l'existence d'un cippe portant une inscription mentionnant que le petit fils et l'arrière petit fils de Pompée sont inhumés à Miliana.

'Q-POMPEIO CN.F QVRIT CIEMENTI PA/…. DURV EX TESTAMENTO Q.POMPEIO F.QVIR ROGATI FRATRIS SVI MARRA POSUIT'

Grâce à son site fortifié en 375 le général romain Théodose l'Ancien évacuant Césarée vint occuper "Sugabar" à mi-côté du mont Transcellens pour réprimer l'insurrection du chef berbère Firmus.

Au Ve siècle, avec le déferlement des Vandales, la ville romaine s'effaça avec la plupart de ses monuments antiques.

Période arabo-musulmane
Entre 972-980 après J.C, Abou El Feth Bologhine Ibn Ziri Essanhadji, vassal d' Al Moez il Din Allah de la dynastie des Fatimides restaura et reconstruisit la ville médiévale sur les ruines de l'antique ZUCCHABAR. Bologhine ibn Ziri devint le maître incontesté d' Ifriqya. Pendant un certain temps, Miliana fut la capitale d'une grande partie du Maghreb. Durant cette période la ville renaît et connut une grande prospérité.

Au Xe siècle, Ibn Hawqal fut le premier géographe Arabe à citer le nom de Miliana dans ses écrits. Il la situe à une étape d' El-Khadra et la qualifie de « cité antique, pourvue de moulins que fait tourner son cours d'eau et possédant un grand nombre de canaux d'irrigation ».

Au XIe siècle, El Bakri constate que la ville est romaine et renferme de nombreuses antiquités.

Des voyageurs arabes sont passés à Miliana tels que Ibn Maâchara, El Abdari qui lui dédie quelques poèmes et Ibn Batouta la cite régulièrement.

En 1372, Ibn Khaldoun décrit la ville : « C'est une cité faisant partie du domaine Maghrawa Beni Warsifen dans la plaine de Chélif… et que Bolugginea tracé le plan d'El Djezaïr, de Melyana et de Lemdiya».

Au cours de cette période, Miliana fut un foyer de culture. Elle abrita un grand nombre d'érudits dans différentes disciplines, hommes de sciences notamment, qui furent très célèbres au niveau du Maghreb et du Machrek musulman.

Comme par exemple, Ahmed Ben Otmane El Meliani, poète et écrivain du XIIIe siècle et Ali Ben Omrane Ben Moussa El Miliani, théologien ou Ali Ben Meki El Miliani, théologien et juriste du XIVe siècle.

À l'instar des autres villes du Maghreb, Miliana connut plusieurs conquêtes ainsi que des troubles politiques.

  • 1081 : Youcef Ibn Tachfin, chef des Almoravides occupa Alger, Médéa et Miliana.
  • 1159 : Miliana fit partie de l'empire Almohade
  • 1184 : le siège des Beni Ghania. Grande résistance de la Mitidja menée par Mendel Ibn Abderahmane El-Maghraoui mais Yahia Ibn Ghania et les siens finiront par occuper Alger en 1225.
  • 1238, c'est au tour des Hafsides de Tunis qui viennent soutenir leurs alliés les Beni Tudjin en possession de la ville.
  • 1268 : Yaghmorassen tente d’occuper la région de Meliana en défiant les futurs Mérinides il reconnaît les Almohades.
  • 1270 : Occupation de la ville de Miliana capitale des Maghraoui, débarquement à Tunis des croisés le 18 juillet qui amène la peste. Grave épidémie.
  • 1308 : Les Zianides imposèrent leur autorité sur Miliana et sur presque toutes les villes du Maghreb central.
  • 1317 : Occupation de la ville par les Abdalwadides de Tlemcen.
  • 1461 : Abou Abdallah Mohamed El Moutawakil, sultan de Ténès, s'empara de Médéa et Miliana d'où il forma une armée pour aller conquérir le pays des Beni-Rached celui des Hawwara et Mostaganem ainsi que Mazagran. Il s'emparera de Tlemcen l'année suivante.
  • Même si à partir de 1492, plusieurs contingents d’arabes chassés d’Espagne, après la chute de Grenade, vinrent s'installer dans la région; les Milianais jouirent d'une certaine autonomie et d'une tranquillité certaine jusqu'à la venue des Turcs.                                             par           http://milianaville.com

                                                   

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